La technologie nous offre aujourd’hui plusieurs moyens et stratégies pour vivre en toute sécurité dans nos logements. L’installation d’une alarme est en effet l’un des meilleurs moyens pour assurer la protection d’un appartement, peu importe le type. Sur le marché, on rencontre plusieurs gammes d’alarmes sur plusieurs types, ce qui rend le choix plus difficile. Envie de choisir une meilleure alarme comme de véritable spécialiste ? Restez scotcher à la suite de cet article, bonne lecture !
Alarme autonome ou alarme centralisée
On distingue deux catégories d’alarmes à savoir : alarme autonome ou alarme centralisée.
Alarme autonome
Dans la version autonome, les kits d’alarme sont proportionnellement bon marché. En cas de commencement des bruits d’une alarme, ils se contentent de lancer une sirène de 85 Db ou plus. Alimentés grâce à des piles, ils prévoient l’utilisateur quand elles deviennent faibles. Armés d’une forte autonomie, ces derniers sauront se faire négliger. En actionnant le bouton d’auto test, vous devez garantie le bon fonctionnement de façon chronique.
Alarme centralisée
Dans la version centralisée, il faut opter pour des détecteurs conciliables avec votre centrale, ce qui peut limiter votre choix. Généralement, approvisionnée par les piles, une liaison radio nécessite de bouger des fils dans tous ses sens. Attention donc à la portée maximale, habituellement exprimée en environnement espacé, sans murs ni plafonds. L’altitude de l’alarme centralisée en cas de danger est paramétrable. Par ailleurs, on peut blairer de faire raisonner la centrale, de lui faire envoyer un SMS, un mail ou encore de passer un petit coup de fil grâce à un SMS préenregistré, à une ou plusieurs personnes.
Détecteur d’inondation
Quand un écoulement apparait sans crier gare, plusieurs centaines de litres d’eau peuvent être présents aux lieux où on ne les espère pas, empoigner les plâtres, les sols et créer des courts-circuits. En effet, un détecteur d’inondation fixé dans une blanchisserie vous notifiera si votre ancien appareil à laver fait des siennes et vous permettra de vite réagir pour dérouiller, pomper et préserver vos meubles. Si vous habitez dans une zone inondable, où les pluies violentes peuvent aboutir à des débordements de rivières, un capteur d’inondation au rez-de-chaussée ou dans la cave est essentiel pour votre protection. Même en pleine nuit, le capteur peut s’activer et vous signaler d’un danger qui vous menace.
En réalité, le principe de fonctionnement d’un détecteur d’inondation est très simple : un boitier de direction est raccordé à une paire d’électrodes, fixée également près que possible du sol. L’air qui partage ces électrodes n’admet pas le passage du courant. Cependant, si l’eau monte au niveau des électrodes, une communication se réalise. Cette action commande le déclenchement d’une alarme sonore de plus de 85 Db sur un capteur autonome. S’il est raccordé à une centrale d’alarme, vous apercevrez un message, un e-mail ou un appel pour vous mettre au courant de cette urgence et pour que vous puissiez intervenir le plus vite possible.
Par ailleurs, une électrovanne guidée par l’alarme représente un must : l’électrovanne ferme l’alimentation de l’eau pour regrouper toute inondation stimuler par une fuite, même si vous n’êtes pas présent. Par contre, faites beaucoup attention pour ne pas utiliser ce type de capteur avec des liquides inflammables.
Détecteur de gaz
Le gaz de ville, le propane stocké dans une cuve, le butane des bouteilles sont des sources principales d’énergie merveilleuses. Facile à préserver, des tuyaux les conduisent au lieu de consommation pour votre plus grand bien-être. Cependant, si une soudure de l’activation de la chaudière est fissurée ou si un des brûleurs de la gazinière fuit, c’est un réel ennui. Si la concentration en gaz brise la limite inférieure d’explosivité (LIE), cela se révèle être dangereux.
Par conséquent, s’il encombre l’air, vous avez un fort pourcentage d’intoxication. Uniquement un détecteur de gaz conforme peut vous avertir d’une situation de danger. Les points sensibles à surveiller sont l’aspect des gaz à capter (gaz de ville, butane, méthane, propane, mais également de l’acétylène par exemple) alors que le seuil de détection en ppm (point par million). Faites plus d’attention à ce niveau, car ce seuil peut changer pour différentes espèces pour le même capteur.
Détecteur de monoxyde de carbone
Entre autres, toute combustion excite la production du dioxyde de carbone (CO2). Par ailleurs, si la combustion n’est pas complète, le monoxyde de carbone est créé, en une quantité plus grande que le moyen de production de chaleur est mal entretenu ou que l’air frais manque. En l’occurrence, le monoxyde de carbone, toxique, peut être inévitable. Aussi nommé CO, il est incolore, inodore, insipide également de concentration proche de celle de l’air.
Pour cela, il peut se propager dans le logement sans que l’on ne le constate. On recense environ une centaine de décès par an et un millier d’intoxications. On conseille la pose d’un capteur de monoxyde de carbone dans un endroit d’un à deux mètres à côté d’un poêle, d’une chaudière ou d’une cheminée. À l’intérieur d’un salon ou d’une chambre, un capteur fixé est une mesure de sécurité. Pour les raisons de contraintes de fiabilité récurrentes, il faut privilégier un détecteur certifier NF 292 ou encore la marque NF EN 50 291. Dans la version autonome, on écoute les informations portantes sur le DAACO pour le détecteur autonome signaleur de CO.
Détecteur hors gel
En période d’hiver, quand le thermomètre mesure une température en dessous de zéro, l’eau gèle à cet effet. Dans un logement inhabité, les radiateurs, de chauffage, les tuyaux d’eau cependant également les réservoirs des latrines peuvent exploser sous la dilatation de l’eau. En outre, un détecteur hors gel favorise la prévention quand la température descend à zéro et agit pour épargner les conséquences négatives. Par ailleurs, une sonde raccordée par un fil au boitier calcule le réchauffement de la zone à contrôler. Si cette dernière est en dessous du seuil autorisé pour chaque modèle, le boitier envoie un signal à la centrale d’alarme. En fonction du paramétrage, soit la sirène retentit, soit une personne de votre choix est joint par l’un des moyens suivants : SMS, e-mail ou appel de votre choix.
Détecteur panne congélateur
Le congélateur conserve les aliments par le froid. Sa coque isolante apporte juste quelques heures de sécurité. En cas d’absence d’énergie électrique, de mauvaise fermeture de panne ou de la porte, tous les aliments périssables ne sont plus conservés. En l’occurrence, un détecteur de panne de congélateur permet de pallier à ces éventuels risques. Ce dernier est composé d’un boitier posé à l’extérieur du congélateur raccordé grâce à un fil à une sonde placée dans le réfrigérateur. En réalité, le fil est conçu pour admettre au joint aimanté de la porte du congélateur de garantir une parfaite étanchéité. Si le degré de la température dépasse le seuil normal, le détecteur donne le signal. Ce seuil dépend de la valeur de la machine à suivre :
- La température du congélateur est localisée entre -18 °C et -12 °C. Un seuil à -12 °C favorise l’identification d’une situation anormale ;
- La température du congélateur est localité en dessous de 18 °C, ce qui représente un bon seuil pour repérer une anomalie.
Détecteur de chaleur
Les capteurs de chaleur sont des détecteurs d’incendies de type classiques qui cherchent des particules dans l’air pour vérifier si la situation est critique. La vapeur d’eau de la salle de bains, mais aussi les fumées de cuisson dans la cuisine peuvent s’enfoncer dans la cellule du capteur puis entrainer des déclenchements intempestifs.
En l’occurrence, les détecteurs de chaleur quant à eux se fondent seulement sur la température de l’air et à l’occasion sur ses variations. Si elle outrepasse la valeur normale, située aux environs de 60 °C, l’alarme se déclenche. Par conséquent, les modèles plus perfectionnés se basent également sur les variations. Par contre, si la température évolue de 10 °C à chaque seconde, il est surement question d’un incendie et donc l’alarme s’active.
3 conseils secondaires pour bien choisir votre alarme
- De préférence, optez pour un système modulaire capable de supporter les capteurs dont vous éprouvez le besoin pour la protection de votre logement. Évoquez avec beaucoup de précision vos besoins en termes de détecteurs et faites référence à une marque pour vos besoins futurs.
- Au cas où vous disposez d’une installation domotique, il est important de la mettre en couple avec votre alarme pour plus de dissuasion et de praticité.
- Un centre de télésurveillance, grâce à un abonnement mensuel, offre un surcroit de sécurité assez important.